Obsession à la nourriture
Dans un travail pour l’identité, l’obsession s’estompe très vite
Pour rassurer les nouveaux participants qui peuvent trouver étonnant que dans cette approche on ne parle ni du passé ni de la nourriture, je demande à chaque fois qu’il y a des nouveaux arrivés qui, depuis les groupes, n’a plus l’obsession de la nourriture ?
Elle a souffert de son obsession à la nourriture. Voici le texte de son témoignage :
« Pour rassurer les 4 nouveaux participants je voudrais savoir qui, depuis les groupes n’a plus l’obsession de la nourriture ? Regardez les nouvelles : Ça fait 1,2,3,4,5,6 personnes.
Parmi ces 6 personnes, qui avant ne pensait qu’à la nourriture et ne vivait que pour ça ? Voilà, à peu près les mêmes. »